Ours blanc musée
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L’odorat, l’atout majeur de l’ours dans la quête de nourriture

L’odorat de l’ours polaire et de l’ours brun est très développé, ce qui leur permet de trouver de la nourriture dans leur environnement. Ils possèdent des cornets nasaux très développés qui augmentent la surface de leur épithélium olfactif, ce qui leur permet de détecter les odeurs avec une grande précision.

En ce qui concerne l’ail des ours, il s’agit d’une plante de la famille des alliacées qui est souvent utilisée comme plante médicinale et condimentaire. Elle produit une odeur caractéristique qui peut être détectée par l’odorat des ours.

Des études ont montré que les ours bruns ont une préférence pour l’ail des ours lorsqu’ils cherchent de la nourriture, car cette plante est riche en nutriments et en calories. Les ours polaires, en revanche, ne sont pas connus pour manger de l’ail des ours, car cette plante ne pousse pas dans leur environnement naturel.

Cependant, il est important de noter que les ours ont une grande capacité d’adaptation à leur environnement et peuvent changer leurs habitudes alimentaires en fonction des ressources disponibles. Ainsi, il est possible que les ours polaires ou les ours bruns se nourrissent occasionnellement d’ail des ours s’ils en ont la possibilité.

Les super-pouvoirs de l’odorat de l’ours polaire, l’un des plus gros carnivores terrestres.

L’ours blanc, issu de la même branche évolutive que l’ours brun, s’est séparé il y a quelque cent mille ans en migrant vers le nord. Il est exclusivement carnivore et se nourrit principalement de phoques et d’autres vertébrés, ce qui en fait l’un des plus gros carnivores terrestres.

Possédant des sens très développés, l’odorat de celui-ci est particulièrement remarquable. Il peut repérer l’odeur d’un phoque se reposant sur la banquise à 10 km de distance et peut détecter l’odeur d’un phoque dans l’eau jusqu’à une profondeur de 1 m à 1,5 m. Son odorat très sensible lui permet également de trouver des charognes jusqu’à 30 km de distance.

Le museau allongé de l’ours polaire augmente la surface des cornets situés dans les fosses nasales. Ces structures osseuses entourées de tissus portent d’une part l’épithélium respiratoire et d’autre part un épithélium olfactif de plusieurs centaines de centimètres carrés.Il dispose de dizaines de millions de neurones olfactifs dans son nez, ce qui lui est bien utile pour détecter la nourriture de loin et avec sûreté.

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